„lis consistent en ceci: immédiatement ou pen de tempö „après l'injection, dyspnée subite, angoisse respiratoire, „(36 a 40 respirations par minute), toux spasmodique, point „de cöté, tendance a la üpothymie, voire a la syncope;
puis Ie lendemain, ou les jours suivants, expectoration „quelque fois peu sanguinolente, et forination manifeste d' un „foyer circonscrit de congestion pulmonaire s'accusant par des „signes non douteux (rSles fins, respiration bronchique, „submatité, quelque fois frottements pleuraux, etc.).
„Cette scène est variable comme durée. Le plus souvent „épiiémère, elie ne dépasse pas quelques heures, voire une „heure. Parfois cependant elle persiste deux, trois, quatre „jours, avec ou sans complication de phénomènes fébriles. „Dans un cas, elle a duré trois semaines, avec continuité ,,d' expectoration sanguinolente.
„Jusqu'ici ou 1'a toujours vue se terminer d'une fa?on „favorable (a inoins cependant qu'on 11e rattaclie a un „processus embolique les deux cas de mort subite signalés „par Lewin a la suite d' injections d' huile grise).
„Ces accidents emboliques ont toujours succédé a des „injections insolubles. (calomel, aceto-thymol, salicylate). „Mais leur pathogénie a été différemment interprétée quant „a la nature de 1'embolus. Les uns ont incriminé le „véliicule huileux, et les autres les fines particules mer„curielles qui, si petites soient-elles, offrent encore au mi„croscope un volume trés appréciable et peuvent par elles „seules obturer les fins capillaires du poumon. A 1'appui „de cette dernière opinion, 011 invoque surtout les expériences „de Möller, qui a produit sur les animaux des infarctus „pulmonaires en leur injectant du tliymol acetate de mercure „en suspension dans la paraffine liquide."
Interessant is in ons geval, naast het vrij onduidelijke klinische eld, dat hier duidelijk blijkt, dat het de huile grise zelve is, die de embolie veroorzaakt. Immers, wij zagen de kwikbolletjes deels nog in de vaten; bij versche